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Fun, jet ski et ski nautique

Le ski nautique est un sport nautique consistant à se faire tracter par un bateau à moteur. Il comporte 4 disciplines: le slalom, les figures, le saut et le combiné. ]. Il fut ensuite repris par le Français Pierre Balthier, qui enseigna le ski nautique à Raphaël et Stéphane Sevain alors âgés de 18 ans. Stéphane fut champion du monde à 15 reprises et Raphaël 2 fois en catégorie «unijambiste» en 1922 sur le lac Pépin. ]. En 1925, Fred Waller dépose un brevet pour les premiers vrais skis nautiques appelés « Dolphin Akwa-Skees ». En 1940, Jack Andersen met au point le premier ski pour faire des figures. Il s’agit d’un ski plus petit, plus large ne possédant aucune dérive. Le ski nautique a fait une seule apparition aux Jeux olympiques d’été, en 1972 en tant que sport de démonstration. Pierre Fradin fut ainsi le seul champion olympique grâce à un temps de 911 secondes. Pendant longtemps, l’Adriatique a été dominée par Venise, à tel point que de nombreux contemporains appelaient cette mer « le golfe de Venise ». Au XVIIIe siècle, après le traité de Passarowitz en 1718, cet espace est complètement bouleversé politiquement. L’affirmation progressive des ports impériaux (Fiume, Trieste, Porto-Ré…), la concurrence acharnée du port franc d’Ancône et la renaissance de Raguse remettent en question l’hégémonie vénitienne. Bari assure un trafic important, surtout tourné vers les Balkans et la Grèce. Les croisières participent aussi à l’essor de ce port. Le négoce avec le port de Marseille s’y développe tout au long de la moitié du XVIIIe siècle. L’historiographie s’intéresse tout récemment à cette mer encore assez méconnue des historiens en dépit de nombreuses études sur Venise. Les côtes de l’Adriatique sont peuplées par plus de 3,5 millions d’habitants. Les plus grandes villes sont Ancône, Bari, Venise, Trieste et Split. Les premières colonies furent celles des Étrusques, des Grecs et des Illyriens. Au IIe siècle av. J.-C., les côtes étaient sous contrôle de Rome. Au Moyen-Âge, plusieurs États et Empires s’en partageaient la garde : l’Empire romain d’Orient et son héritière la République de Venise (deux thalassocraties), la maison des Habsbourg et l’empire Ottoman. Pierre Cabanes (dir.) (Olivier Chaline, Bernard Doumerc, Alain Ducelier, Michel Savignon), Histoire de l’Adriatique, Éd. Seuil, Coll. « L’Univers historique », 2001, 672 pages. Michel Vergé-Franceschi, Dictionnaire d’Histoire maritime, Paris, éditions Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2002, 1508 p. Antonio di Campli, Adriatico. Nos randonnées sont encadrées par un moniteur diplômé. Il vous fera découvrir les plus beaux sites de St Barth. La pratique du jet se fait seul ou à deux sur la machine en toute sécurité. RANDO DECOUVERTE (1/2 heure). Départ de Grand Cul De Sac, passage devant la roche de Pointe Milou direction la plage de St Jean, découverte de la baie, vous assisterez au décollage et atterrissage des avions: toujours un grand moment à St Barth ! Retour à la Base par le même chemin. RANDO PREMIUM (1 heure). Départ de Grand Cul De Sac, passage devant la roche de Pointe Milou, direction St Jean, découverte de la baie. Puis cap sur la baie de Flamand pour le second stop. Ensuite, direction Baie de Colombier où nous observerons la plage depuis le large, afin de préserver la Réserve Naturelle. Retour à Grand Cul De Sac par le même itinéraire. RANDO TOUR DE L’ÎLE (1.30 heure). Départ de la Base de Grand Cul De Sac, passage Pointe Milou, Baie de St Jean, Baie de Flamand, passage au large de la Baie de Colombier (Réserve Naturelle), direction plage de Shell Beach pour une baignade improvisée. Puis cap sur les eaux translucides de la Plage De Gouverneur et direction Plage De Salines pour un nouveau bain dans une crique inoubliable! Cap sur Grand Fond, Toiny, Petit Cul De Sac pour venir tourner autour de l’îlet Tortue et rentrer à la Base par la passe de Grand Cul De Sac. A voir sur le site de randonnée en jet ski.

Découverte de la Bulgarie

Tout récemment, j’ai fait un voyage de groupe en Bulgarie. Comme vous vous en doutez certainement, il ne s’agissait pas d’un voyage de groupe tel qu’on l’imagine traditionnellement : j’ai toujours honni les voyages en groupes de 45 personnes, où chacun est condamné à suibre le petit drapeau du guide durant les visites et à lui coller aux basques pour entendre les explications. Très peu pour moi, merci. Non, pour ce voyage, il s’agissait en fait d’un groupe de sept personnes, et si les déplacements se faisaient effectivement en bus, l’organisation était suffisamment libre pour que chacun puisse sortir de la bulle du groupe. Ce qui fait qu’au final, ma femme et moi avons fortement apprécié ce séjour ! Nous n’avons pas eu à nous casser la tête pour tout ce qui concernait l’organisation, les déplacements, le coucher, ou les visites culturelles ; et nous avons pu profiter de chaque visite à notre rythme, sans avoir l’impression de suffoquer à cause du groupe. Dieu sait pourtant que je peux être asocial, par moments. Mais à aucun moment, je n’ai été contrarié par la vie de groupe. Les fois où nous avons été amenés à déjeuner ou discuter avec les autres, cela s’est même très bien passé (peut-être justement parce que cela restait rare, cela dit). Après, je ne dis pas non plus que c’était parfait. Il y avait notamment dans le groupe un couple de vieux qui ne semblait pouvoir ouvrir la bouche que pour critiquer. Même Jean-Pierre Bacri serait passé pour un joyeux luron à côté d’eux, et je crois que tout le monde a sérieusement pensé à mettre du cyanure dans leur repas. Mais c’est véritablement l’unique ennui de ce séjour, car tout le reste était impeccable. Bref, si vous êtes comme moi du genre à croire que les voyages de groupe sont forcément une abomination et une source d’énervement, je vous invite sérieusement à tenter l’aventure. D’ailleurs, si vous êtes intéressé par le voyage de groupe (que ce soit en Bulgarie ou ailleurs), voici l’agence qui l’a proposé. J’ai tout spécialement apprécié la qualité du programme. Suivez le lien pour plus d’infos : http://www.voyagegroupe.fr/destinations/voyage-groupe-europe/voyage-groupe-bulgarie/

 

Découvrir la Frick Collection

La semaine dernière, un séminaire incentive m’a permis de retourner dans mon endroit préféré au monde : New-York. Si j’ai déjà visité Miami, Los Angeles et Vegas, c’est véritablement New-York qui me fascine le plus. Lors de mon séjour (évidemment trop bref), j’ai dû choisir ce que j’allais visiter. Après avoir pas mal tergiversé (la ville compte un nombre hallucinant de musées), j’ai finalement opté pour la Frick Collection. Quoi ? Ni le MET ni le MoMA, ni même le Guggenheim ? Eh non, j’ai choisi la Frick Collection, un peu moins connu mais tout aussi (voire plus) fascinant.
Ce musée est en fait un leg de la famille Frick. Pour la petite histoire, Henry Clay Frick était un self-made man auquel ses proches reprochaient « son enthousiasme un peu trop prononcé pour la peinture ». Il débuta sa carrière dans l’industrie du charbon, devenant millionnaire à l’âge de 30 ans En 1900, il s’installa à New York où il fit bâtir sa magnifique demeure afin d’y exposer sa collection, dans la perspective d’en faire un musée ouvert au public. C’est donc à la fois une demeure et un musée. La collection Frick évoque l’âge d’or de la bourgeoisie new-yorkaise au tournant du 20e siècle, époque où les millionnaires érigeaient, le long de la 5e Avenue, de splendides demeures qu’ils décoraient de tableaux de maître. L’ancienne résidence de l‘industriel Henry Clay Frick, transformée en musée et en bibliothèque en 1935, abrite des trésors inestimables. Visiter la Frick Collection permet donc non seulement de pénétrer dans la demeure de son fondateur, mais aussi d’apprécier la jolie collection d’oeuvres qui ont été réunies. Dépourvue du caractère monumental de certains musées de la ville, cette collection offre l’occasion d’effectuer une promenade artistique dans un cadre raffiné et une ambiance sereine. Un audioguide gratuit en six langues et une brochure dotée d’un plan vous guident à travers les dix-neuf salles du musée. Si vous êtes à la recherche d’un musée un peu différent de ce qui se fait habituellement, je vous le recommande. Si j’ai également fait le MoMa lors de mon séminaire incentive, c’est au final la Frick Collection que j’ai préféré : c’est dire si le lieu a du charme ! Je vous laisse une bonne adresse, cellede l’agence qui s’est occupée de notre voyage incentive aux USA – superbe équipe.

De l’art dans l’environnement

Si vous ne savez pas quoi faire en ce week-end de rentrée, je vous invite à faire une balade insolite au cœur de la Meuse. J’ai découvert cela d’abord en surfant sur le net, puis je m’y suis rendu, pour le plaisir des yeux. La forêt, des sentiers qui cheminent ; une région imprégnée d’une forte ruralité; des artisans héritiers du savoir-faire ; de jeunes artistes qui transposent l’art contemporain en pleine nature, dans l’échange et le partage avec la population : un vent nouveau souffle au cœur de la Meuse sur six villages, unis pour enchanter leur forêt. Une cohabitation qui dure depuis 1996, peuplant la forêt domaniale de Marcaulieu de cent cinquante œuvres. Au carrefour de ce chemin d’art, chaque artiste apporte son inspiration, tient compte de l’environnement et se fond dans la population, le temps de la création. Le Vent des Forêts n’est ni une chapelle de l’art contemporain, Hi un musée à ciel ouvert, ni du Land Art. Il s’inscrit juste dans une volonté d’implication de tous les acteurs à une exposition permanente, un «engagement de proximité» et, comme le dit son directeur artistique Pascal Yonet, «dans le portage d’un projet de développement du territoire ››, à une centaine de kilomètres seulement de la capitale. Dès lors, muni de son carnet de randonneur, il suffit de se laisser emporter par le Vent des Forêts et de prendre la clé des bois à, la rencontre du colosse de Stefan Rinck, des œuvres en bois de Claudia Comte, des structures volantes de Thomas Lanfranchi et de bien d’autres, pour nous offrir un vent de liberté artistique. C’est un lieu très insolite, et un peu hors du réel, mais cela fait étonnement du bien de découvrir de tels endroits, au cœur de la nature. L’environnement et l’art, ensemble, pour nous faire du bien au moral. Moi, j’aime. Si vous en savoir plus, et notamment comment vous y rendre, allez sur le site Voyage Insolite.

A la conquête de Marseille

voila une bourgade séduisante au sud de Paris, il s’agit de Marsilla. Antique et nanti de 2600 années d’antécédents, la porte de Provence présente une notoriété d’abondante, et cette cité reste pleinement déroutante. Dès sa création, la métropole désoriente par ses contradictions. L’agglomération s’offre fortifiante avec ses gens. L’agglomération dégage une séduction charmante. Marseille demeure aussi une cité didactique avec de très nombreux musées. L’agglomération décontenance car la cité phocéenne ne dévoile pas la singularité d’une agglomération classique. La vertue clef de la métropole est son magnifique entourage pur : des rochers découpés à 2 mn des côtes, de maintes rives, des merveilleux fonds. Puis les calanques. Ce qui charme similairement est cuistance qui se reproduit dans les cours de cuisine. Les plats anciens se dévorent du bord de mer aux buvettes, avec apétance. Marseille jouie pareillement d’un environnement chaleureux presque annuel.

La balade dans le massif demeure une occupation à ne pas faillir. De nombreux trecks indiqués patrouillent le massif. Les calanques sont similairement un environnement de grimpe fréquent des escaladeurs de l’Europe. La plongée sous-marine est y compris une distraction plaisante à Marseille. Le bateau a similairement des passionnés. Repérez les coteaux à proximité de la cité. Des vignobles recommendent des cours d’œnologie à Marseille et dans les clos pour ressentir les vins du sud. Un attrait de la cité est omniscience. Il existe un chaleureux parler de la région, saisi et parlé par de nombreux locaux. Quelque phase est super pour explorer Marseille. Marseille est accueillante tous les jours. Il y a néanmoins quelques occasions qui pourraient être passionant, comme que le championnat de Pétanque. Actuellement, la ville témoigne d’une image virulente, mais Marseille vaut à être visitée.Sur le plan économique, Marseille est une destination positive pour incentive à marseille, le tourisme, et pareillement pour la pêche. Donc allez juger cette superbe région. La 2ème agglomération du pays subsiste au cœur d’un labyrinthe de communications efficace avec certaines des villes européennes.

Se réchauffer à Marrakech

Le Maroc est un endroit beau, superbe pays. Mon entreprise m’avait invité dans ce beau pays pour examiner à demain, avec mes anciens collaborateurs, et je dois dire que j’ai essentiellement bénéficier du Maroc. Tout le voyage était organisé par des professionnels, donc nous n’avions qu’à nous laisser guider et profiter. Je retourne et complètement ravi par cet endroit aux paysages si divers. Un séminaire bien intéressant.

Nous avons eu l’opportunité de vivre Marrakech, superbe cité qui frémie. Marrakech dispose environ 903 589 citoyens dispatchés sur une superficie de deux cent km carré. Marrakech est la 4ème cité du trone. Marrakech est encore l’une des cité universitaires du trone, ce qui en conçoit une cité dynamique en plein essor. Les jeunes marocains besognent ici dans le tourisme, dans l’organisation de incentives et dans les agences évènementielles à Marrakech pour se acquitter leurs scolarités mais aussi pour s’amuser.

J’aime principalement le contraste entre la vieille cité et les lieux touristiques. Les superbes palaces qui se camouflent dans les ruelles de la médina. Mais également les beaux palaces dans les zones moins touristiques, qui donnent une atmosphère particulière particulièrement dans les bars. J’aime également les pics qui se érigent au loin. La sierra est proche. Nous sommes partis en balade en quatre quatre au centre de l’Atlas, une superbe balade.

Autre superbe virée, la pensée de cette balade en quad et en cheval dans les sables du désert. Cadeau de ce voyage incentive au Maroc, cette balade était spéciale. Nous avons dormis en cantonnements et apprécié les cieux. Pour retrouver le sable il faut premièrement traverser les plaines. Ces zones ont rarement de énormes plaines, s’allongeant des collines du Rif jusqu’au Moyen Atlas, la région de Sebou s’arrange de bas plateaux, de rivières, certaines cols et des étendues fécondes. Et au sud du Maroc, l’Erg Chebbi, proche de la démarcation algérienne, est la plus grande zone de pierres et poudreux au Maroc. Quelques dunes peuvent atteindre 250m d’altitude.

Autre pensée arrangé par l’agence incentive à Marrakech, une expédition dans l’express Désert Oriental Express. Ce l’omnibus joint Oujda à Bouarfa sur 300Km de rails, et vous enjoint à admirer de magnifiques paysages marocains accentués de grandes dunes, de tentes nomades et de humbles cités séparée. C’était géant. Alors kudos à tous pour ces merveilleux souvenirs.

Se dépayser en Islande

L’Islande est complètement un pays en devenir. Situé sur les deux continents, l’Islande est un pays en construction, avec des volcans qui produisent de plus en plus de sol et qui engendrent à l’islande de s’accroitre. L’ile s’est développée au 9ème et 10ème siècle sous l’influence des conquérants des nordiques. Le pays est heureux d’avoir le parlement la plus vieille au monde. L’ile, indépendante depuis mille neuf cent quarante quatre, est à présent une ile qui sort d’une crise économique sans précédent, et qui se appuit sur des secteurs tels que les métaux, les métaux, les biotechnologies, et les biotechnologies.

Avec près de 300,000 personnes, dont 200,000 à la région de Reykjavik, la capitale, l’Islande est un petit pays, dénudé, offrant la part belle aux grands espaces. Les sous-sols et la thermie de pays développent également des décors remarquables, ce qui séduit notamment des centaines de milliers de touristes chaque année qui viennent apprécier des panoramas plus magnifiques les uns que les autres. Ce tourisme a entrainé aussi lacroissance d’agence séminaire en Islande qui utilisent les trésors des décors et des expériences, pour développer encore les salaires du tourisme.

Parmi les paysages, les vacanciers arrivent en masse admirer le Golden Circle, un jet d’eau qui a donné son nom à tout un lieu touristique comprenant un parc national, des geysers, Landjokull sur lequel les agence incentive viennent faire de la motoneige et du 4×4, ainsi que des chutes d’eaux superbes. Les touristes viennent aussi découvrir le Blue Lagoon, une piscine naturelle aux eaux turquoises et chaudes, devenue un stop obligatoire pour tout séminaire d’entreprise.

Le pays est aussi sympathique pour les islandais, issu des vikings, et toujours combattifs dans la tête. Les islandais sont maintenant certains les plus centrés sur l’extérieur. Et grâce à ces voyages, ils rappatrient chez eux les procédés qui fonctionnent ailleurs, aussi en tourisme, technologie, musique, arts… Aussi pour une organisation de séminaire que pour un voyage individuel,le pays est un pays à part, une terre unique faite de feu et de glace, qui charme les esprits par sa magnificence.